‎quatre‎‎ soldats syriens ont été tués et trois autres blessés dans des frappes aériennes sionistes‎‎ sur des positions militaires autour de la capitale damas, a annoncé le ministère syrien de la défense. ‎
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‎ le ministère a déclaré dans un communiqué publié sur facebook que l’attaque sioniste visait des « points » qui ne précisaient pas leur nature, et a également entraîné des pertes matérielles. ‎
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‎ l’agence de presse syrienne sana a cité une source militaire disant que ‎‎le bombardement sioniste a été effectué après minuit ‎‎avec des tirs de roquettes en direction du lac de tibériade. ‎
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‎ la même source a déclaré que les défenses aériennes syriennes ont répondu à ce qu’elles ont décrit comme des missiles d’agression et ont largué la plupart d’entre eux. ‎
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‎ l’observatoire syrien des droits de l’homme a déclaré que les bombardements sionistes visaient des dépôts d’armes et de munitions sur cinq positions militaires qui appartiennent « officiellement » aux forces du régime syrien mais sont effectivement soumises à des milices pro-iraniennes, notant que le bombardement a tué cinq soldats syriens et quatre autres, dont l’identité n’a pas été immédiatement précisée. ‎
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‎ les frappes aériennes sionistes sur des positions autour de damas font partie d’opérations qui durent depuis des années, et le gouvernement sioniste dit qu’il cible principalement la présence militaire de l’iran. ‎
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‎ à la fin du mois dernier, le jerusalem post ‎‎ a révélé que l’armée de l’air sioniste avait mené plus de 1 000 frappes aériennes sur des cibles en syrie au cours des cinq dernières années‎‎, afin d’empêcher l’iran de consolider sa présence militaire et d’envoyer des armes sophistiquées au hezbollah libanais. ‎
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‎ au cours ‎‎de ces raids, les avions sionistes ont frappé 1 200 cibles avec plus de 5 500 bombes‎‎, selon le journal. ‎
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‎ d’autre part, l’armée sioniste a reconnu que l’un de ses drones avait atterri à l’intérieur du territoire syrien au cours de ce qu’elle a décrit comme une activité de routine. ‎
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‎ il a déclaré dans un communiqué qu’il n’y avait aucune crainte que des informations fuitent du drone.‎